Moi jai la tête dure ?
Pas du tout !
Jai le crâne trop mou
Pour protéger une cervelle
Qui narrête pas de dérailler
Rendue insensible
Par mille pointes et mille aiguillons
Aussi acérés ah Christ que les épines de votre couronne
Mai 1968
(Traduction Paol Keineg)